Qu’est-ce que le headshaking ?

Le tremblement de tête expliqué

Peut-être que vous commencez tout juste à vous familiariser avec une nouvelle monture ce printemps ou que vous amenez votre jeune. Imaginez votre horreur lorsque vous découvrez que votre cheval commence à secouer la tête. Vos rêves de pouvoir concourir ou même pirater en toute sécurité commencent à s’effondrer autour de vous. Mais ne désespérez pas : secouer la tête ne signifie pas nécessairement la fin de la carrière d'équitation de votre cheval. De nouvelles recherches aident les vétérinaires et les propriétaires à mieux comprendre cette maladie et à proposer des solutions pratiques pour gérer le problème.

Qu’est-ce que le headshaking ?

De nos jours, il semble que tout le monde connaisse quelqu’un qui fait trembler la tête. Mais qu'est-ce qu'un « head shaker » et qu'est-ce qui le distingue d'un cheval souffrant d'une irritation à court terme ou d'un problème de comportement ?

La plupart des chevaux secouent la tête de temps en temps pour se débarrasser des mouches ou lorsqu'ils sont frustrés. Les chevaux qui hochent simplement la tête lorsqu'ils sont à l'écurie ou lorsqu'ils rentrent chez eux après une promenade ne secouent peut-être pas la tête mais « hochent la tête », une condition qui répond aux changements de direction. Les « Nodders » ne causent généralement pas de gros problèmes à eux-mêmes ou à leur propriétaire. Les véritables secoueurs de tête le font de manière persistante et sans raison apparente.

Ils présentent des mouvements de tête verticaux et horizontaux brusques et saccadés. La gravité des mouvements peut varier de petits mouvements à d'énormes arcs de cercle qui menacent de frapper le cavalier sur le nez ou de le renverser. Les experts reconnaissent désormais que les tremblements de tête présentent également des symptômes suggérant que le cheval souffre d'irritation à l'intérieur ou autour du visage et du museau. Les secoueurs de tête qui reniflent également excessivement lors d'une attaque essaieront de se frotter le visage ou d'agir comme si une abeille leur avait monté le nez. Ils peuvent même passer leur nez sur le sol ou heurter le sol pendant l'attaque. De plus, l'imprévisibilité de la durée et de l'occurrence de ces attaques peut sérieusement limiter la capacité d'un coureur à concourir ou même à rouler en toute sécurité.

Par Dr Katy Taylor Université De Montfort

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